Invisible mais déjà omniprésente, l’intelligence artificielle s’impose comme le nouveau moteur silencieux des transports et des mobilités. Elle pilote les navettes autonomes, assiste les conducteurs, optimise les flux, anticipe les pannes et affine les calculs d’itinéraires. Des centres de supervision aux véhicules eux-mêmes, l’IA est partout : dans la circulation urbaine, dans la planification des réseaux, dans la maintenance prédictive des matériels roulants.

Ses promesses sont immenses : plus de fluidité dans le trafic, une fiabilité accrue des services, une exploitation mieux ajustée aux usages réels. Grâce à la remontée et à l’analyse de millions de données en temps réel, elle permet d’anticiper plutôt que de subir : anticiper les congestions, les défaillances, les besoins énergétiques ou la demande voyageur.

SOMMAIRE

• IA : l’ère de l’industrialisation commence
• RATP : une nouvelle étape sur la route du bus autonome
• La mobilité autonome a-t-elle (encore) un avenir ?